Archives Mensuelles: juillet 2014
Queyras 2014 – J10 Gîte les Balladins (CEILLAC) / Gîte les Gabelous (St VERAN)
C’est notre dernier jour de trek, un départ à 08h15 de Ceillac (1639 m) avec l’ascension du col des Estronques (2651 m) soit près de 1000 mètres de dénivelé positif puis une descente sur la vallée de Saint Veran (1849 m) et une dernière petite grimpette de 200 m pour atteindre le gite des Gabelous.
Nous sommes partis sous un magnifique soleil. Laurent a pris la navette vers Saint-Veran pour ménager son talon d’Achille. La raison l’a emporté sur le plaisir!
Cyril s’est fait plaisir en tentant une ascension en un temps record. Avec son poisson-pilote Christian, il a atteint le sommet du Col des Estronques en 2h15 contre une prévision de 3h30. Le rythme de la montée a été de 450 m/heure soit 150 m de plus par heure qu’un randonneur lambda. Cyril a donné toute sa passion dans cette dernière grosse ascension du trek 2014. Olivier est arrivé 20 minutes plus tard avec une moyenne de 390 m/heure…. bien au dessus de la moyenne encore!
Alors qu’Olivier finissait « tranquillement » son ascension, Cyril et Christian ont poursuivi leur ascension (sans sac) vers un petit promontoir (Tête de Jacquette 2757 m d’altitude) situé juste au-dessus du col des Estronques pour admirer une dernière fois le panorama du parc du Queyras.
Une fois le petit groupe réuni au niveau du col, nous avons entamé la descente vers la vallée de Saint Veran en faisant une petite halte pour déjeuner. Le panier repas était bon avec un sandwich jambon, une salade de pâte, du fromage de montagne, un paquet de chips, un cake et une compote de pomme.
Nous avons repris notre route pour atteindre Saint-Veran à 13h30
Notre trek est terminé, la boucle est bouclée, nous avons rejoint notre point de départ. Nous avions une nouvelle fois réservé un dortoir au gîte des Gabelous où nous avons justement pu profiter d’un bain norvégien (sorte de barrique de bois remplie d’eau à 40°, installée dehors et chauffée par un poêle)
Nous avons clôturé notre trek par un succulent diner : Raclette!!!!!!!!!
Notre retour est programmé pour le lendemain matin à 08h30.
Queyras 2014 – J9 Refuge de Basse Rua / Gîte des Balladins
Avant dernier jour du trek….
Météo pluvieuse en début de matinée, puis ensoleillée et enfin nuageuse
Malgré les odeurs nauséabondes de la chambre du refuge de Basse Rua, nous avons passé une excellente nuit (motif : la literie était très confortable). Nous avons petit déjeuner puis avons pris le chemin de randonnée vers le col d’Escreins (2700 m) pour se rendre au village de Ceillac (1639 m)
À 8h05, après 100 mètres de marche, Laurent a été obligé de rebrousser chemin en raison d’une blessure au talon d’Achille. Il stoppe à contre cœur le trek pour raison médicale.
Le reste du groupe prend la route et commence alors une ascension assez longue qui se déroulera très facilement dans le 1er tiers. Par la suite, l’inclinaison de la pente augmentera nettement et la découverte du col se fera au dernier moment.
A 11h30, une fois la photo prise, le groupe entreprend la descente du col qui longera une falaise abrupte. Ce sera le site du déjeuner.
Nous prendrons notre panier repas assis au bord de la falaise avec une magnifique vue sur la montagne et la plaine. Le panier repas est bon et se compose de 2 tranches de pains (une tranche de plus aurait été la bienvenue), une tranche de jambon, une salade de riz, une tranche de fromage, un Mars, une madeleine et une pomme.
Par la suite , nous attaquons la descente de la falaise par un couloir assez aérien et subissont quelques petites ascensions intermédiaires qui font très mal aux jambes.
Le reste de la descente sera tranquille jusqu’à Ceillac où nous avons retrouvé Laurent dégustant une succulente glace caramel au beurre salé. Il nous fera la visite de la chambre du gîte des Balladins.
Le gîte est un intermédiaire entre un hôtel et un gîte d’étape. Nous avons une chambre 4 places avec WC et douche privative. L’ambiance de la montagne n’est pas présente dans cet établissement qui est plus une usine à randonneurs qu’un gîte/refuge.
Pour mémoire, au cours de cette journée, nous avons rencontré 2 chamois et quelques marmottes.
Demain nous attaquerons notre dernière randonnée à destination de Saint Veran!!!! Sniffff 😥😩
Queyras 2014 – J8 Refuge du Cime du Melezet / Refuge de Basse Rua
Une journée marathon et pleine d’imprévus.
Après un bon petit déjeuner et une photo de groupe avec et sans Elsa (notre hôtesse au refuge), nous sommes partis du refuge (1822 m) plein d’entrain vers le Pas du curé (2783 m) puis le col de la Colette Verte (2900 m) afin de rejoindre la vallée voisine au niveau du refuge de Basse Rua (1730 m)
La journée commençait très bien sous un beau soleil par la montée vers le lac miroir via un chemin à 4×4 sur les pistes de ski.
Malheureusement, les indications étaient spartiates et Laurent/Christian/Olivier ont raté la bifurcation vers le lac Miroir.
Alors que les 3 compères redescendent pour rejoindre le lac et sûrement Cyril, ce dernier a également raté la bifurcation. Malheureusement Cyril n’a pas rejoint le chemin initialement programmé.
Laurent est parti à la recherche de Cyril durant plus d’une heure tandis que Christian et Olivier ont attendu à l’embranchement pour rejoindre le pas du Curé avec le téléphone allumé.
Au bout d’une demi- heure, Cyril a appelé pour indiquer qu’il voyait le col et qu’il pouvait finalement rejoindre le sentier en longeant une courbe de niveau. Lorsque Laurent est enfin revenu, le groupe pris le chemin pour retrouver Cyril.
Tout le monde a finalement reprit le chemin vers le Pas du Curé.
Cette ascension est très très aérienne avec sur sa partie finale, une pente très importante de schiste qui nécessite une concentration de chaque instant pour ne pas glisser voire chuter.
Au niveau du Pas du Curé, nous avons déjeuné. Le panier repas était très bon avec un gros sandwich saucisson/salade/fromage, des chips, un brownie, une madeleine et une pomme.
Après ces quelques minutes de repos, nous avons repris notre marche pour atteindre le col de la Colette Verte afin de basculer vers la vallée voisine.
Nous avons alors descendu la vallée pour atteindre un passage câblé non prévu….
Le passage était très aérien et n’a pas été apprécié de tous….. La chute n’était pas autorisée.
Après cette épreuve non attendue, nous avons rejoint le refuge de Basse Rua où nous avons pris en charge notre chambre de 4. Nous avons été énormément déçu par l’hébergement qui était un appenti aménagé en chambre avec un toit en tôle et les retours des odeurs des toilettes. Beurkkkk 👎
Toutefois le repas du soir était très bon avec une soupe, un couscous et un crumble. Nous avons poursuivi la soirée avec un verre de Génépi offert par Olivier et une belle partie de UNO
Queyras 2014 – J7 Refuge de Furfande / Refuge du Cîme du Melezet
Nouvelle journée alternant nuages et soleil.
Après une très bonne nuit, nous repartons à 08h15 pour un périple assez physique.
Au programme une descente de 1100 mètres vers le pont de Bramousse avant d’attaquer l’ascension du col de Bramousse qui se situe à 2251 mètres d’altitude soit un dénivelé positif de 1100 m environ.
Par la suite, une nouvelle descente vers Ceillac (1639 m) et une remontée en fond de vallée jusqu’au refuge des Cimes du Melezet (1822 m)
La première descente s’est bien passée sans trop de douleur et dans un délai très raisonnable. Nous avons d’ailleurs rejoint les randonneurs savoyards de la veille (cf. partie de UNO – Hélène, Olivier et leur fils Hugo).
Nous avons fait la quasi ascension du col de Bramousse en leur compagnie. Ils nous ont quitté dans le dernier tiers pour déjeuner avant midi au col. Nous avons déjeuné au col de Bramousse à 13h00 après l’arrivée de toute l’équipe. La fin de l’ascension a été assez pénible pour les jambes.
Le panier repas était moyen en raison de la faible quantité de nourriture. Il se composait d’une tomate, un paquet de chips, 2 fines tranches de pain au céréales, une tranche de jambon avec cornichon, une tranche de tomme de Savoie, une pomme, une madeleine et un balisto. Le pain était très insuffisant pour faire des sandwichs dignes de ce nom.
Après ce déjeuner, nous avons attaqué la descente assez raide jusqu’à Ceillac. Nous avons croisé au cours de cette descente un troupeau de vaches, heureuses de paître dans l’herbe bien grasse.
Nous sommes arrivés à Ceillac à 15h00. Nous avions le choix entre appeler la gardienne du refuge pour nous véhiculer jusqu’au fond de la vallée ou de remonter la vallée à pied. Par 3 votes contre 1, nous avons choisi la seconde possibilité.
Ce petit tronçon facultatif nous a rajouté presque 200 mètres de dénivelé positif alors que Cyril n’avait plus d’eau depuis le début de la seconde descente et il n’avait prévenu personne!!!!! Pas bien….. Sachant que nous avons remonté la vallée sous un beau soleil.
Le refuge est un bâtiment plein de charme qui dispose de 11 places. Nous avons le droit à un dortoir de 7 places pour nous. Il dispose d’escaliers assez atypiques pour accéder aux douches communes (comme hier, encore très convivial) et aux dortoirs.
L’accueil d’Elsa était très chaleureux car nous étions les seuls clients du soir. Le dîner était très bon avec un beau saladier de spaghetti. Miammmmmm
Nous avons terminé notre soirée par une partie de UNO.
Demain une journée marathon qui peut être un vrai calvaire en raison de la distance et du dénivelé dans des passages aériens.
Queyras 2014 – J6 Gîte des bons enfants / Refuge de Furfande
Résumé de la journée en quelques mots : courte, nuageuse, éprouvante pour les jambes.
Nous voici à la moitié du trek.
Aujourd’hui c’est une journée de transition dixit Cyril avec quand même 900 mètres de dénivelé positif sur 10 km. On en reparlera plus tard…..!
Nous sommes partis du gîte de Brunissard à 08h30 après un bon petit déjeuner. Le soleil était présent, à ce moment là, pour la photo de groupe!
Nous avons quitté Brunissard (1797 mètres) pour nous rendre au refuge de Furfande qui se situe à 2293 mètres d’altitude avec le passage du col de Furfande à 2500 mètres.
Le parcours est assez simple : une montée sur 11km avec quelques pentes supérieures à 15% (ce qui est important!)
Le col est directement accessible par une route carrossable. Nous y avons croisé des randonneurs et des touristes.
Nous avons déjeuné juste après le col sur un rocher surplombant le refuge qui se trouvait 300 mètres plus bas. Notre panier repas était très bon avec du pain, du saucisson, une tomate, une salade riz thon olive, un paquet de chips, une barre de céréales, une pomme et du fromage.
Nous sommes arrivés dans un refuge neuf de 39 places qui a été entièrement reconstruit sur l’ancien. La gardienne a sélectionné des artisans locaux pour les travaux. Le refuge offrait des douches à l’italienne (2) dans une salle de bain accessible pour tout le monde. Seul un rideau sépare les personnes autour des lavabos de ceux qui prennent leur douche. C’est ce que l’on appelle la convivialité?!
Nous étions dans une très belle chambre, tout en bois, de 5 places.
Nous aurions pu voir en fin de soirée des chamois qui descendent à proximité du refuge mais la météo avait prévu du brouillard et de la pluie…. beaucoup de pluie. Au final pas de chamois mais une belle partie de UNO en compagnie de randonneurs savoyards (Olivier et Hugo) rencontrés la veille à Brunissard. Nous avons terminé nos parties à 21h30… Cyril a gagné 🎉👏
Voilà pour cette journée de « récupération » selon Cyril.
Queyras 2014 – J5 Refuge des fonts de Cervières / Gîte des bons enfants
Nouvelle journée et nouvelles difficultés. Temps nuageux puis ensoleillé.
Un bon petit déjeuner (comme d’hab!) et nous quittons le refuge (2035 m) à 08h en direction du col de Peas (2629 m).
L’ascension est relativement rapide malgré la difficulté. Nous arrivons au col à 09h30
Nous commençons alors une longue descente de 7km vers le village de Souliers (1840 m)
Nous arrivons au village à 11h50 et prenons notre pause repas à 12h15. Le panier repas est un des plus fournis depuis le début du trek : pomme de terre, tomate mayonnaise, œuf mayonnaise, saucisson, pain, camembert, emmental, cake à la fraise, compote de pomme.
Nous repartons à 13h00 pour l’ascension du col de Tronchet (2347 m). Christian se fera plaisir dans la montée en l’avalant en 30 mn contre 1h pour l’estimation officielle. Le reste de l’équipe montera le col plus « calmement » en 50 mn tout de même.
Pour finir cette journée avec deux cols, nous redescendons dans la vallée au niveau du village de Brunissard (gîte de bons enfants).
Nous sommes arrivés à 15h30 au gîte. Les pieds et les genoux étaient très contents!!!!
A noter que dans la journée, nous avons croisé à deux reprises un chamois…. Animal très craintif difficile à prendre en photo!
@ suivre
Queyras 2014 – J4 Gîte du Cassu / Refuge des fonts de Cervières
Une nouvelle journée commence avec cette fois-ci quelques difficultés techniques. L’ascension du col des Thures (2797 m) avec un dénivelé de près de 900 mètres ainsi que l’ascension d’un 3000 mètres (ou pas!)
Nous sommes partis ce matin à 08h après un très bon petit déjeuner.
La première difficulté arrive rapidement avec l’ascension du col des Thures sous une météo assez incertaine.
L’ascension est raide surtout dans sa partie finale. Laurent et Christian finissent l’ascension avec près d’une heure d’avance sur l’estimation (2h30 au lieu de 3h30)
À l’arrivée du reste du groupe, nous en profitions pour prendre une photo sous un vent glacial qui ne nous lâchera pas du reste de la journée.
Nous abandonnons l’idée de gravir le Bric Froid en raison des conditions météos glaciales et surtout des chutes de neige de la veille sur le schiste. D’un autre côté, les risques liés à la météo nous conviennent car l’ascension du col était assez éprouvante.
Nous poursuivons notre périple par l’ascension du col de Rasis (2921 m) qui nous amène vers un lac de montagne sans nom que nous avons baptisé unanimement « Mathilde ».
Nous avons pris durant 30 mn notre panier repas qui était très copieux avec un sandwich au jambon blanc, une salade de riz tomate, un sandwich au fromage, une barre chocolatée et une pomme.
Après le déjeuner, nous avons repris le GR58 qui nous a amené dans une barre rocheuse (descente), une longue marche sous les contrefort du Grand Glaysan avant d’atteindre une nouvelle barre rocheuse qui était cette fois-ci à gravir. Elle nous permet d’atteindre le col de Malrif (2866 m). Cette ascension était assez technique avec un sentier très aérien où il fallait impérativement éviter le faux pas.
Nous avons ensuite atteint le pic de Malrif (2906 m) avec une vue sur un lac de montagne.
Par la suite, nous nous sommes engagés dans une longue descente vers le refuge des fonts (2h). Cette descente a été ponctuée par de la grêle, de la pluie et des rencontres furtives avec des marmottes.
Notre refuge se trouve dans le hameau des fonts (2035 m). L’accueil est chaleureux. Nous découvrons une chambre privatisée pour nous 4 et une salle chauffée avec un poêle à bois.
Queyras 2014 – J3 Refuge de la Monta / Gîte du Cassu
Pluie, pluie et un peu de soleil
Après une bonne nuit en dortoir, nous prenons un petit déjeuner avant de nous jeter sous la pluie.
Une petite photo souvenir et un dernier au revoir à la sympathique équipe du refuge.
Le parcours du jour a été partiellement modifié car nous ne passerons pas par la crête du Gilly en raison des risques d’orage et d’une visibilité réduite pour contempler le panorama.
Notre nouveau chemin ne sera pas reposant (dommage!!!!!) car nous devons atteindre la Colette de Gilly à 2366 mètres en partant d’une altitude au plus bas de 1604 mètres. Notre dénivelé positif pour la journée est d’environ 700 mètres.
L’ascension des derniers kilomètres était assez rude sous une pluie quasi permanente.
À notre arrivée au col, nous nous sommes tous changés pour rester au chaud et surtout AU SEC!
Nous avons dégusté notre panier repas en deux fois car la premier tentative a été écourtée par une petite pluie soudaine.
Le repas était simple mais délicieux. Un sandwich au jambon cru, du fromage, un fruit, un jus d’orange et enfin un petit cake.
La descente vers le hameau des Roux a été assez longue et fatiguante pour les articulations.
Nous sommes arrivés à 14h30 au gîte du Cassu. Après une bonne douche, nous en avons profité pour laver et mettre à sécher nos effets vestimentaires.
Demain…. Ce sera une des plus grosses journées du trek avec peut être l’ascension du Bric Froid (selon le temps, la forme de chacun et surtout la météo)
L’accès à Internet reste peu probable pour les deux jours a venir….. @ suivre
Queyras 2014 – J2 Refuge Agnel / Refuge de la Monta
Deuxième jour de randonnée avec un objectif assez spécial : le Pain de sucre qui culmine à 3208 mètres.
Nous quittons le refuge Agnel (2580 m) à 08h15 après un copieux petit déjeuner. Le premier objectif est le col Vieux (2806 m).
Nous atteignons ce col sans trop de difficulté après 45 mn de marche.
Nous nous engageons alors dans l’ascension du Pain de Sucre. Il s’agit d’un dôme de schiste très pentu. L’ascension ne peut avoir lieu que du côté français en raison de la présence d’une paroi rocheuse abrupte côté italien.
Les photos écrasent malheureusement la sensation de vide!
L’ascension est un tour de force pour certains d’entre nous sujets au vertige.
Cette ascension n’est pas difficile en soi mais ne pardonne aucun faux pas. Pour mémoire, sur du schiste, le moindre faux pas et vous aurez le droit au mieux à des points de suture et au pire à une chute interminable avec au final un hélitreuillage. Mais rassurez-vous nous sommes très prudents!
Nous sommes arrivés au sommet à 10h00. Le temps de prendre quelques photos, de savourer cet exploit au niveau de l’altitude et nous avons redescendu le Pain de Sucre pour poursuivre notre route.
La descente est aussi impressionnante que la montée car vous devez faire face au vide.
Cyril et Christian ouvraient la voie à leur binôme sensible au vertige.
Nous avons pris notre déjeuner vers 12h30 avec une vue splendide sur la vallée et les montagnes environnantes. Le panier repas était très bien fourni.
La descente a été très très très longue pour les pieds et les genoux. Presque 4h de descente pour avaler les 1600 mètres de dénivelé négatif.
Lors de notre arrivée au refuge de la Monta à 16h30, le premier réflexe a été de se déchausser et de chausser ses claquettes. Un moment de relaxation inoubliable…. Ne peuvent comprendre que ceux qui ont déjà vécu ce moment!!!!
Le refuge est « encore » une ancienne brigade des douanes. Elle possède a proximité une petite bâtisse pour que les gabelous de l’époque puissent surveiller le col à la longue vue et surtout au sec et au chaud.
L’accueil a été extrêmement chaleureux et très convivial. Le repas servi à 19h était entièrement réalisé avec des matières premières du jardin. La soupe aux orties et la tartiflette étaient succulentes.
Voilà demain le temps va changer avec un gros risque d’orage et de pluie. Super, la pluie nous manquait…. 😡