J5 – Susanfe / La Vogealle (1/3)
Après une journée soft, nous arrivons désormais à l’une des principales difficultés de ce trek : Le col des Ottans.
Les échos sur ce passage sont très troublants. Certains nous informent qu’il se passe en chaussures de randonnée, d’autres nous préviennent que les crampons sont obligatoires.
Durant la soirée au refuge, nous avons fait la connaissance de 4 jeunes randonneuses qui doivent également passer le col. Ceci va nous permettre de réaliser l’ascension avec d’autres personnes (dont certaines très à l’aise sur les névés)
Nous partons vers 08h40 du matin de la cabane de Susanfe après une petite photo avec Fabienne, la gardienne.
Le départ a été un peu retardé sur les conseils de Fabienne en raison de la glace formée sur les névés.
La montée se fait à un bon rythme. Nous arrivons après quelques heures devant le fameux névé verglacé et pentu.
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Le fameux passage des échelles avec une montée à 45 degré dans la roche.
En arrière plan, vous pouvez voir le sommet de la Haute Cime et le col Susanfe.
Pendant ce temps, à 10h00, Christian, qui a reposé sa jambe pendant une journée, arrive à Sixt-Fer à Cheval pour se rendre au refuge de la Vogealle (950 m de dénivelé positif) par le pas du Borêt. C’est un passage très pentu, déconseillé aux personnes souffrant de vertige et en cas de pluie.
Revenons à Cyril et Laurent qui arrivent saint et sauf devant le passage des Ottans. Après avoir retiré leur paire de crampons, ils engagent les hostilités!!!! Mais ça, c’est dans la deuxième partie 😉
Publié le juillet 27, 2013, dans Tour du Ruan 2013. Bookmarquez ce permalien. 4 Commentaires.
ou lala vivement la suite biz ariane et nono
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extraordinaire,
malgré mon grand âge hihihi, cela donne envie de le faire, ah on avait quand même fait les trois quarts de sixte avec toi Cyril
bravo à vous trois les champions
Contents que Christian aie pu vous rejoindre
A bientôt
Attention pour le retour
bisous
Maman Papa
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extraordinairement stressant je dois dire, le névé était très pentu et les 10 derniers mètres interminable, heureusement que 4 jeunes femmes nous ont pris sous leur ailes chaussées de leurs crampons et qu’elles ont fait la trace. Arrivé devant le mur de pierre j’avais pour ma part fait le plus dur.
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Nous sommes fiers de vous ! Nous avons hate de vous retrouver. Gros bisous a vous trois !
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